Cette année encore, IRIS a renouvelé sa certification Imprim’Vert. La mise en place de cette démarche nécessite d’être attentif à toutes les étapes de production du document imprimé , afin de limiter l’empreinte environnementale de la chaîne graphique dans son ensemble.
Un audit physique est réalisé dans l’entreprise tous les 3 ans et un audit sur pièces est effectué chaque année. En 2023, l’audit en présentiel a porté sur les cinq axes de la certification :
- Les déchets (chiffons souillés, encres et autres produits dangereux comme les colles, vernis ou huiles, DEEE, bidons, aérosols…) sont confiés à l’éco-réseau Biotop pour être traités en filière agréée. Les chutes de papier sont revalorisées. Les bordereaux de suivi réglementaires attestent du traitement de ces déchets.
- Les déchets liquides, dangereux, en cours d’utilisation ou non, font l’objet d’un stockage sécurité. Ils ne peuvent causer aucune pollution accidentelle et ne sont pas accessibles aux collaborateurs de l’entreprise.
- L’utilisation des produits classés CMR est proscrite. Les produits CMR (Cancérigène, Mutagène et Reprotoxiques) peuvent se trouver dans les encres d’imprimerie, mais aussi dans les solvants. Ils sont remplacés par des substances sans danger pour l’environnement et pour l’utilisateur. Dans la vie courante, on trouve des CMR dans la fumée de cigarette, l’amiante, les poussières de bois…
- Une sensibilisation des équipes d’IRIS est menée tout au long de l’année afin de partager des objectifs communs, d’améliorer les process et coller aux objectifs de la certification.
- Le suivi des consommations énergétiques est aussi inscrit dans le cahier des charges de la certification. Il permet de piloter les investissements matériels, de vérifier le bon fonctionnement des équipements et atteste de la politique énergétique mise en place dans l’entreprise.